Les Châteaux
Villers dispose d'un patrimoine architectural exceptionnel avec 7 châteaux sur son territoire. Un huitième existait jusqu'en 1970, le château de Hardeval.
Le château de l'Asnée

Adresse :
11, rue de Laxou
Latitude : 48.6741516787508
Longitude : 6.1424882146804975
Latitude : 48.6741516787508
Longitude : 6.1424882146804975
Histoire :
C'est d'abord un lieu dit. Au XVIe siècle, on y trouve d'abord un pâquis, un moulin, et une tuilerie, ainsi qu'un "clos" où les pestiférés nancéens sont entassés dans des « loges » où ils meurent autant de faim que de maladie.
Au XVIIIe sciècle, la propriété appartient à Louis de BARBARAT DE MAZEROT, seigneur de Brabois. Au XIXe siècle, les LEFEBVRE DE MONTJOYE, alors propriétaires des actuels presbytères de la paroisse St-Fiacre et Tour Greff, vendent ces deux propriétés et acquiter le domaine de l'Asnée où ils font édifier le château actuel. En pleine période où l'architecture de l'époque est imposée par EIFFEL ou BALTARD, le style choisi est du Louis XIII mélangé de gothique.
La construction en est confiée à Prosper MOREY, bâtisseur de la basilique Saint Epvre, elle est édifiée au milieu du parc.
En 1933, la propriété est vendue à l'association diocésaine. Le séminaire, dont l'architecte fut Jules CRIQUI (celui qui a aussi construit l'église Sainte-Thérèse), y est implanté dans les années 1934-36, cachant le château. Le Séminaire, qui peut accueillir 200 séminaristes est de style moderne, apparenté à l'art déco.
Au XVIIIe sciècle, la propriété appartient à Louis de BARBARAT DE MAZEROT, seigneur de Brabois. Au XIXe siècle, les LEFEBVRE DE MONTJOYE, alors propriétaires des actuels presbytères de la paroisse St-Fiacre et Tour Greff, vendent ces deux propriétés et acquiter le domaine de l'Asnée où ils font édifier le château actuel. En pleine période où l'architecture de l'époque est imposée par EIFFEL ou BALTARD, le style choisi est du Louis XIII mélangé de gothique.
La construction en est confiée à Prosper MOREY, bâtisseur de la basilique Saint Epvre, elle est édifiée au milieu du parc.
En 1933, la propriété est vendue à l'association diocésaine. Le séminaire, dont l'architecte fut Jules CRIQUI (celui qui a aussi construit l'église Sainte-Thérèse), y est implanté dans les années 1934-36, cachant le château. Le Séminaire, qui peut accueillir 200 séminaristes est de style moderne, apparenté à l'art déco.
Origine du nom :
Ancien lieu-dit dont la première mention remonte à 1491. Ce nom vient probablement de « aulnée » (lieu planté de saules). Ce nom a souvent varié d'orthographe au fil des siècles.
L'Asnée est aussi un ruisseau. Ce ruisseau se jetait dans le ruisseau de Saurupt, qui grossit du ruisseau de Laxou, fournissait de l'eau à l'étang Saint Jean et aux douves des fortifications de Nancy.
L'Asnée est aussi un ruisseau. Ce ruisseau se jetait dans le ruisseau de Saurupt, qui grossit du ruisseau de Laxou, fournissait de l'eau à l'étang Saint Jean et aux douves des fortifications de Nancy.
Personnages célèbres :
Amédée LEFEVRE DE MONJOYE fut maire de 1871 à 1875.
Aujourd'hui :
Le château, dont on peut toujours admirer une échauguette, est caché par le grand Séminaire, dont le parc occupe 8 hectares.
Les bâtiments abritent notamment :
Les bâtiments abritent notamment :
- des salles de réunions
- la Radio ARTDN-RCF-LORRAINE NANCY
- la bibliothèque diocésaine dont la majorité du fonds provient du cardinal Eugène TISSERAND qui y a effectué de nombreux séjours
- la librairie de l'Asnée
La Tour Greff

Adresse :
1 Rue du Chanoine Piéron
Propriété privée située face au presbytère, au dessous des constructions de la résidence du Cap Vert.
Latitude : 48.6706747
Longitude : 6.1424237999999605
Propriété privée située face au presbytère, au dessous des constructions de la résidence du Cap Vert.
Latitude : 48.6706747
Longitude : 6.1424237999999605
Histoire :
Une tour crénelée fut construite au XIXe siècle : elle était censée représenter les ruines reconstituées d'un château fort médiéval.
Ce bâtiment a été édifié par le capitaine de cavalerie et artiste LEFEBVRE DE MONTJOYE, alors propriétaire du presbytère actuel. Une passerelle en fer permettait une communication directe entre ses deux propriétés. Ce bien a été vendu par ses héritiers pour s'installer à l'Asnée.
Ce bâtiment a été édifié par le capitaine de cavalerie et artiste LEFEBVRE DE MONTJOYE, alors propriétaire du presbytère actuel. Une passerelle en fer permettait une communication directe entre ses deux propriétés. Ce bien a été vendu par ses héritiers pour s'installer à l'Asnée.
Origine du nom :
La famille GREFF, qui a détenu un temps ce château, dirigeait une importante brasserie, rue de la Commanderie à Nancy.
Personnage célèbre :
Amédée LEFEVRE DE MONTJOYE a été maire de 1871 à 1875.
Aujourd'hui :
Une société civile immobilière s'en est rendu acquéreur à la fin des années 70 et l'a transformé en appartements, en copropriété. On aperçoit toujours la tour à travers les arbres.
Le château Madame de Graffigny (ex GEC)

Adresse :
Rue Albert 1er, face à l'école du Château
Entrées : rue Albert 1er - rue du Haut de la Taye/ rue Charles Oudille
Latitude : 48.67024958775726
Longitude : 6.146060875424155
Entrées : rue Albert 1er - rue du Haut de la Taye/ rue Charles Oudille
Latitude : 48.67024958775726
Longitude : 6.146060875424155
Histoire :
A l'origine, des petites maisons de village furent achetées et réunies par Dominique CONSTANT, cuisinier de la duchesse de Lorraine et père de Raymond CONSTANT, peintre des églises de Nancy. La famille COLLONET, apparentée aux CALLOT dont est issue Madame de GRAFFIGNY (elle est l'arrière petite nièce du graveur) fut aussi détentrice du domaine.
Vers 1712, François Huguet de GRAFFIGNY, sera à l'origine du château et du parc dont le célèbre agronome Charles-Alexandre MATHIEU DE DOMBASLE s'est occupé.
Le financier ELIE a poursuivi l'aménagement du parc.
Le château a été reconditionné en 1865.
Vers 1712, François Huguet de GRAFFIGNY, sera à l'origine du château et du parc dont le célèbre agronome Charles-Alexandre MATHIEU DE DOMBASLE s'est occupé.
Le financier ELIE a poursuivi l'aménagement du parc.
Le château a été reconditionné en 1865.
Origine du nom :
- GEC = groupement des étudiants catholiques, des jésuites ayant acquis la propriété pour y loger des étudiants.
- Françoise de Graffigny : cf ci-dessous
Personnages célèbres :
Françoise D'APPONCOURT, épouse DE GRAFFIGNY a entretenu une correspondance suivie avec VOLTAIRE et DIDEROT. Elle est l'auteur des « Lettres d'une Péruvienne ». Elle fut l'hôte de Madame de CHATELET, amie de VOLTAIRE.
Ce bien a aussi appartenu aux familles :
- CALLOT (Jacques CALLOT, le célèbre graveur ne l'a jamais possédé, ce fut son neveu, Jacques CALLOT III qui en fit l'achat en 1666).
- CORBIN (propriétaires des Magasins réunis)
- DE LIGNEVILLE
- MATHIEU de DOMBASLE (occupants du château durant le 18e siècle.)
Aujourd'hui :
Le bâtiment est géré par la ville de Villers (expositions…)
Une roseraie a été replantée ces dernières années.
Dans le parc, il reste un cèdre du Liban ramené par Bernard de JUSSIEU, sans doute planté par MATHIEU de DOMBASLE. (Le parc a subi la tempête du 26 décembre 1999, mais certaines essences rares ont perduré). Ce parc accueille chaque début septembre la fête des vendanges.
Les sous sols ont été aménagés en galerie pour mieux accueillir les expositions.
Une roseraie a été replantée ces dernières années.
Dans le parc, il reste un cèdre du Liban ramené par Bernard de JUSSIEU, sans doute planté par MATHIEU de DOMBASLE. (Le parc a subi la tempête du 26 décembre 1999, mais certaines essences rares ont perduré). Ce parc accueille chaque début septembre la fête des vendanges.
Les sous sols ont été aménagés en galerie pour mieux accueillir les expositions.
Flore remarquable dans le parc :
- le cèdre du Liban (nominé dans la catégorie arbre de l'année 2015)
- un séquoia
- un ginkgo biloba
- un néflier
- un polownia
Le château Simon de Chatellus

Adresse :
Rue Albert 1er
Latitude : 48.669657967250615
Longitude : 6.145835569866904
Latitude : 48.669657967250615
Longitude : 6.145835569866904
Histoire :
Le bâtiment fut un temps dénommé « Château de Villers » et occupé durant plusieurs années par le « district urbain »
Il fut construit, à coté de la maison franche édifiée au XVIe siècle par les seigneurs de WIDRANGES, d'après les plans de Claude Thomas GENTILLATRE, acquéreur de la propriété en 1751.
C'est lui le bâtisseur de plusieurs édifices les portes Sainte Catherine et Stanislas de Nancy. Il a aussi construit, sur ordre d'Emmanuel HERE, l'arc de triomphe, les basses faces de la place Stanislas.
Le château a été acheté à Yves GUILLET de CHATELLUS par le district urbain en 1970 et racheté par la ville en 1985.
Le domaine a été amputé pour assurer d'autres constructions, en 1975.
Il fut construit, à coté de la maison franche édifiée au XVIe siècle par les seigneurs de WIDRANGES, d'après les plans de Claude Thomas GENTILLATRE, acquéreur de la propriété en 1751.
C'est lui le bâtisseur de plusieurs édifices les portes Sainte Catherine et Stanislas de Nancy. Il a aussi construit, sur ordre d'Emmanuel HERE, l'arc de triomphe, les basses faces de la place Stanislas.
Le château a été acheté à Yves GUILLET de CHATELLUS par le district urbain en 1970 et racheté par la ville en 1985.
Le domaine a été amputé pour assurer d'autres constructions, en 1975.
Origine du nom :
Le Capitaine Simon de CHATELLUS, est mort en héros durant la Seconde Guerre mondiale. Il a une rue à son nom à BETTONCOURT (88500).
Personnages célèbres :
Les familles LEFEBVRE DE SAINT GERMAIN, GUILLET DE CHATELLUS et HENNEZEL.
M. Dorat de CHATELLUS était soldat grenadier de l'empire
Monsieur LEFEVRE, comte de Saint Germain fut maire de 1821 à 1831
Jean de CHATELLUS, le frère ainé de Simon a été adjoint aux finances, élu en 1959
M. Dorat de CHATELLUS était soldat grenadier de l'empire
Monsieur LEFEVRE, comte de Saint Germain fut maire de 1821 à 1831
Jean de CHATELLUS, le frère ainé de Simon a été adjoint aux finances, élu en 1959
Aujourd'hui :
Il abrite l'école éponyme depuis 1989. Ne restent que le corps principal et le colombier. A l'emplacement de la cour devait se situer la maison franche des seigneurs de WIDRANGES au XVIe siècle. Cette cour remplace les bâtiments d'une ferme.
Le château Saint-Fiacre

Adresse :
Propriété située sous le parc de Brabois, dont elle est séparée par un grand mur. Au départ, il s'agissait d'un hameau dépendant du château de Rémicourt ; c'est là que se situent les origines de la paroisse du village de Villers-lès-Nancy.
Latitude : 48.66615061287881
Longitude : 6.148775270947226
Latitude : 48.66615061287881
Longitude : 6.148775270947226
Histoire :
L'ancêtre du château actuel fut édifié par le sieur « BABIN » (dont le testament est encore dans nos archives) alors syndic des libraires de NANCY.
Les propriétaires suivants furent les familles PIERSON, puis MASSIGNAC dont la commune a acheté des terrains dans le milieu des années 1990, avenue Paul Muller.
De style romantique, la propriété, construite entre 1848 et 1871, comportait un parc à l'anglaise de 4 hectares dans lesquels se trouvaient des ruines et des vestiges archéologiques et une antique statue de Saint Fiacre.
Une route allant de Villers à Vandoeuvre traversait le parc en longeant les murs de la propriété de Brabois.
Une autre route la croisait au sortir de la propriété et aboutissait au château de Remicourt.
Les propriétaires suivants furent les familles PIERSON, puis MASSIGNAC dont la commune a acheté des terrains dans le milieu des années 1990, avenue Paul Muller.
De style romantique, la propriété, construite entre 1848 et 1871, comportait un parc à l'anglaise de 4 hectares dans lesquels se trouvaient des ruines et des vestiges archéologiques et une antique statue de Saint Fiacre.
Une route allant de Villers à Vandoeuvre traversait le parc en longeant les murs de la propriété de Brabois.
Une autre route la croisait au sortir de la propriété et aboutissait au château de Remicourt.
Origine du nom :
Saint Fiacre était le patron attitré des jardiniers. Il est fêté le 30 août et a été choisi en 1956 par la commune et Roger SCHOENSTEIN pour l'inauguration de la première fête des Vendanges, c'est aussi le nom de la plus ancienne église de Villers.
Une chapelle consacrée à Saint Fiacre existait déjà dans la propriété au XIVe siècle (1345) siècle ; elle ne devint église qu'en 1601 quand Villers fut érigé en paroisse. La chapelle et la fontaine, réputées guérir certaines maladies, attiraient de nombreux pèlerins.
Dans le parc, il y avait 2 petites maisons de gardiens et une plus importante qui a appartenu un temps à des jésuites de Nancy, comme lieu de repos.
Une chapelle consacrée à Saint Fiacre existait déjà dans la propriété au XIVe siècle (1345) siècle ; elle ne devint église qu'en 1601 quand Villers fut érigé en paroisse. La chapelle et la fontaine, réputées guérir certaines maladies, attiraient de nombreux pèlerins.
Dans le parc, il y avait 2 petites maisons de gardiens et une plus importante qui a appartenu un temps à des jésuites de Nancy, comme lieu de repos.
Personnages célèbres :
François PIERSON avocat et grand propriétaire terrien est à l'origine de la bâtisse dans sa configuration actuelle.
Plusieurs personnages dénommés PIERSON ont eu la charge de maire de la commune :
Plusieurs personnages dénommés PIERSON ont eu la charge de maire de la commune :
- An III, puis de 1808 à 1816, Dieudonné (Il a acheté la propriété de Brabois)
- De 1848 à 1871, François
- De 1915 à 1918, Louis PIERSON de Brabois
Aujourd'hui :
Le parc occupe toujours 4 hectares.
On peut toujours y voir un cellier à demi enterré dans le bas du jardin, quoique fort endommagé.
On peut toujours y voir un cellier à demi enterré dans le bas du jardin, quoique fort endommagé.
Le château de Remicourt

Adresse :
149, rue de Vandoeuvre
Latitude : 48.66641278717732
Longitude : 6.151318005093344
Latitude : 48.66641278717732
Longitude : 6.151318005093344
Histoire :
XIIIe siècle : Première maison forte à Remicourt (Enclave réduite).
En 1426, la propriété appartient au duc de Lorraine qui l'érige en fief.
Longtemps seigneurie à part, Remicourt, simple tour en bois au Moyen Age, s'est transformé petit à petit jusqu'à prendre un aspect de maison de plaisance au XIXe : il comportait une maison forte et un hameau à proximité.
1617 : Fusion de Remicourt et Villers
Le bâtiment sera remanié et appelé château au XVIIe siècle, son aspect actuel date du XVIIIe siècle.
Le château a été offert plusieurs fois à divers grands de Lorraine en récompense de services ou faits d'armes. Une chapelle plus récente abrite aujourd'hui la paroisse de la Visitation et de la Sainte Rencontre (chapelle orthodoxe).
Le parc a abrité un temps le camping de Brabois. Il a été amputé pour créer l'école d'architecture, des installations sportives, un lotissement installé en grande partie sur les terres de la ferme. Cette ferme avait remporté plusieurs prix agricoles.
En 1426, la propriété appartient au duc de Lorraine qui l'érige en fief.
Longtemps seigneurie à part, Remicourt, simple tour en bois au Moyen Age, s'est transformé petit à petit jusqu'à prendre un aspect de maison de plaisance au XIXe : il comportait une maison forte et un hameau à proximité.
1617 : Fusion de Remicourt et Villers
Le bâtiment sera remanié et appelé château au XVIIe siècle, son aspect actuel date du XVIIIe siècle.
Le château a été offert plusieurs fois à divers grands de Lorraine en récompense de services ou faits d'armes. Une chapelle plus récente abrite aujourd'hui la paroisse de la Visitation et de la Sainte Rencontre (chapelle orthodoxe).
Le parc a abrité un temps le camping de Brabois. Il a été amputé pour créer l'école d'architecture, des installations sportives, un lotissement installé en grande partie sur les terres de la ferme. Cette ferme avait remporté plusieurs prix agricoles.
Origine du nom :
Nom de personne ou nom de peuple Remi + curtis mot qui désigne le centre d'un grand domaine foncier (gallo franc), mentionné pour la première fois en 1127. Une famille porte ce nom au XIIIe siècle.
Personnages célèbres :
Vautrin de BAYON ayant trahi son seigneur, la propriété est attribuée à Jean de BIDOS, dit Jeannon l'Arbalétrier qui s'illustra lors de la bataille de Nancy (1477)
Renée de Bourbon, épouse du duc de Lorraine, qui posséda en propre Remicourt de 1533 à 1539 (suivant son exemple, plusieurs personnages de la cour s'installèrent à Villers)
A la Révolution, Pierre de SIVRY, fut le premier en Lorraine à créer un jardin à l'Anglaise Des vestiges en sont encore visibles.
Ernest Claude de SIVRY, dernier seigneur de Remicourt fut le père de la poétesse Madame DE VANNOZ (1775-1881). La fille de Madame DE VANNOZ épousa Anatole SCITIVAUX DE GREICHE. Par la suite, la propriété appartint aux SCTITIVAUX DE GREICHE (Anatole, maire de Villers de 1900 à 1912) jusqu'en 1946 où il fut acquis par la ville de NANCY.
Renée de Bourbon, épouse du duc de Lorraine, qui posséda en propre Remicourt de 1533 à 1539 (suivant son exemple, plusieurs personnages de la cour s'installèrent à Villers)
A la Révolution, Pierre de SIVRY, fut le premier en Lorraine à créer un jardin à l'Anglaise Des vestiges en sont encore visibles.
Ernest Claude de SIVRY, dernier seigneur de Remicourt fut le père de la poétesse Madame DE VANNOZ (1775-1881). La fille de Madame DE VANNOZ épousa Anatole SCITIVAUX DE GREICHE. Par la suite, la propriété appartint aux SCTITIVAUX DE GREICHE (Anatole, maire de Villers de 1900 à 1912) jusqu'en 1946 où il fut acquis par la ville de NANCY.
Aujourd'hui :
Dans le Parc de 9 hectares :
Il reste : 2 tours dont les parties basses sont anciennes.
Le portail d'entrée porte les armes à la croix de Lorraine.
Il reste : 2 tours dont les parties basses sont anciennes.
Le portail d'entrée porte les armes à la croix de Lorraine.
Faune :
Mésanges bleues et charbonnières, piverts, sitelle torchepot, verdier, pic épeiche, grive musicienne, étourneau, pinson des arbres, corbeau freu, grimpera, écureuils…
Le château de Brabois
(photo de 1910 colorisée)
Adresse :
Entrée par le centre équestre - avenue Paul Muller - rue Victor Grignard.
Latitude : 48.65628620004921
Longitude : 6.147262505062827
Accès libre.
Latitude : 48.65628620004921
Longitude : 6.147262505062827
Accès libre.
Histoire :
Brabois est une terre défrichée dès le Moyen Age, dénommé « gagnage » dans les écrits du XIVe siècle. Elle fut le siège d'une exploitation agricole appartenant aux seigneurs de Remicourt, exploitée par des générations de fermiers.
1536 : Brabois est érigé en fief ; il se compose de maisons, granges, étables, terres, près, bois.
Vers 1615, les BAILLIVY y construisent un pavillon en pierres qui, au XVIII° siècle, deviendra un vaste château.
A la Révolution, la bâtisse appartenait à Monsieur Charles François de BARBARAT de MORIZOT, ministre de Louis XVI. Il y avait édifié un château en fer à cheval dont la façade principale était de proportions comparables à celles de celui de Lunéville, avec un rez- de chaussée comportant plusieurs appartements, des salles de réception, une bibliothèque, un étage comprenant une chapelle et une dizaine d'appartements, une allée de 1250 mètres.
Ce château, bien qu'en bon état fut démoli, les matériaux de construction revendus.
Début 20e siècle les bâtiments restants de ce château abritent un restaurant.
Il fut vendu en 1921 à la ville de Nancy.
1536 : Brabois est érigé en fief ; il se compose de maisons, granges, étables, terres, près, bois.
Vers 1615, les BAILLIVY y construisent un pavillon en pierres qui, au XVIII° siècle, deviendra un vaste château.
A la Révolution, la bâtisse appartenait à Monsieur Charles François de BARBARAT de MORIZOT, ministre de Louis XVI. Il y avait édifié un château en fer à cheval dont la façade principale était de proportions comparables à celles de celui de Lunéville, avec un rez- de chaussée comportant plusieurs appartements, des salles de réception, une bibliothèque, un étage comprenant une chapelle et une dizaine d'appartements, une allée de 1250 mètres.
Ce château, bien qu'en bon état fut démoli, les matériaux de construction revendus.
Début 20e siècle les bâtiments restants de ce château abritent un restaurant.
Il fut vendu en 1921 à la ville de Nancy.
Origine du nom :
Au départ de la propriété : 2 anciens bois, Breuleu (de « broglio », petit bois servant de refuge au gibier) et de Couchereulx vendus à la noblesse locale par les Villarois endettés du XVI° siècle.
Personnages célèbres :
Ce fut M.PIERSON, alors propriétaire du Château Saint Fiacre et du parc de Brabois (sous la propriété de Brabois se trouve celle de Saint Fiacre) qui acquit le château en 1852, d'où il fut autorisé à composer son nom (PIERSON DE BRABOIS).
Aujourd'hui :
Il est propriété de la métropole du Grand Nancy. Le château, dans sa version du 18e siècle a été démoli peu après la Révolution, il n'en subsiste qu'une partie dans le « château » actuel, soit 2 bâtiments.
Témoin de son passé, le colombier, construit dans la première partie du XVIIIe siècle, a échappé de justesse à la destruction. Il a été restauré dans les années 1990, grâce aux Amis de l'Histoire de Villers.
Le parc de la propriété, d'environ 60 hectares, offre toujours un panorama extraordinaire sur l'agglomération à partir de son esplanade. Son entrée principale est située sur la commune de Vandoeuvre, à laquelle les Grands Nancéiens l'associent, mais il est situé à 100 % sur le territoire de la commune de Villers-lès-Nancy.
Les bâtiments ruraux abritent un club hippique.
La tempête du 26 décembre 1999 a décimé une grande partie des arbres de ce parc, en cours de restauration avec l'implantation d'une truffière (Certaines parties restent interdites au public pour des raisons de sécurité).
Témoin de son passé, le colombier, construit dans la première partie du XVIIIe siècle, a échappé de justesse à la destruction. Il a été restauré dans les années 1990, grâce aux Amis de l'Histoire de Villers.
Le parc de la propriété, d'environ 60 hectares, offre toujours un panorama extraordinaire sur l'agglomération à partir de son esplanade. Son entrée principale est située sur la commune de Vandoeuvre, à laquelle les Grands Nancéiens l'associent, mais il est situé à 100 % sur le territoire de la commune de Villers-lès-Nancy.
Les bâtiments ruraux abritent un club hippique.
La tempête du 26 décembre 1999 a décimé une grande partie des arbres de ce parc, en cours de restauration avec l'implantation d'une truffière (Certaines parties restent interdites au public pour des raisons de sécurité).